Le site de la centrale de Cap des Biches a vécu, ce vendredi 11 avril 2025, une journée décisive avec le raccordement officiel de la centrale à la SENELEC, une étape clé du projet West African Energy (WAE). Ce moment marque le passage à une nouvelle phase opérationnelle d’un projet stratégique pour le Sénégal. Ce raccordement à la SENELEC n’est pas seulement un acte technique, mais un symbole fort : celui d’une volonté affirmée de l’État de moderniser les infrastructures énergétiques du pays et d’accompagner une croissance soutenue de la demande en électricité.
Avec une capacité installée de 300 MW, la centrale de Cap des Biches s’impose d’ores et déjà comme l’une des plus puissantes infrastructures énergétiques du pays. Elle renforcera considérablement le mix énergétique national et jouera un rôle déterminant dans la sécurisation de l’approvisionnement, en limitant les risques de délestage, notamment en période de forte consommation. Ce projet s’inscrit aussi dans une logique de transition énergétique progressive, puisqu’il a été conçu pour intégrer des solutions hybrides mêlant gaz, fuel et énergies renouvelables.
Porté par West African Energy, fondée par l’ancien ministre de l’Énergie Samuel Sarr, en partenariat avec la SENELEC, le projet est un exemple réussi de collaboration public-privé. Il repose sur une gestion et un capital majoritairement sénégalais, preuve concrète d’une ambition nationale de souveraineté énergétique. Ce modèle permet non seulement d’assurer un meilleur contrôle local de la production, mais aussi de créer des emplois et de stimuler l’économie, tant au niveau local que national.
L’innovation est également au cœur du dispositif, avec l’utilisation d’équipements de dernière génération, plus performants et respectueux de l’environnement. De plus, le central est conçu pour s’intégrer aux grands projets d’interconnexion régionale, contribuant ainsi à positionner le Sénégal comme un acteur énergétique majeur en Afrique de l’Ouest.
Aujourd’hui, les responsables techniques de la SENELEC et de WAE ont partagé leur enthousiasme et détaillé les défis techniques relevés pour arriver à cette étape. Leur message est clair : ce raccordement n’est qu’un début. D’autres avancées sont attendues, et le cap est résolument tourné vers l’avenir.
Ce moment fort au Cap des Biches résonne comme un signal positif. Il témoigne de la détermination des autorités et de leurs partenaires à faire avancer des projets structurants, garants d’un développement durable et inclusif. Ce n’est pas seulement un branchement au réseau : c’est un pas de plus vers l’indépendance énergétique du Sénégal.
Birame Khary Ndaw
Avec une capacité installée de 300 MW, la centrale de Cap des Biches s’impose d’ores et déjà comme l’une des plus puissantes infrastructures énergétiques du pays. Elle renforcera considérablement le mix énergétique national et jouera un rôle déterminant dans la sécurisation de l’approvisionnement, en limitant les risques de délestage, notamment en période de forte consommation. Ce projet s’inscrit aussi dans une logique de transition énergétique progressive, puisqu’il a été conçu pour intégrer des solutions hybrides mêlant gaz, fuel et énergies renouvelables.
Porté par West African Energy, fondée par l’ancien ministre de l’Énergie Samuel Sarr, en partenariat avec la SENELEC, le projet est un exemple réussi de collaboration public-privé. Il repose sur une gestion et un capital majoritairement sénégalais, preuve concrète d’une ambition nationale de souveraineté énergétique. Ce modèle permet non seulement d’assurer un meilleur contrôle local de la production, mais aussi de créer des emplois et de stimuler l’économie, tant au niveau local que national.
L’innovation est également au cœur du dispositif, avec l’utilisation d’équipements de dernière génération, plus performants et respectueux de l’environnement. De plus, le central est conçu pour s’intégrer aux grands projets d’interconnexion régionale, contribuant ainsi à positionner le Sénégal comme un acteur énergétique majeur en Afrique de l’Ouest.
Aujourd’hui, les responsables techniques de la SENELEC et de WAE ont partagé leur enthousiasme et détaillé les défis techniques relevés pour arriver à cette étape. Leur message est clair : ce raccordement n’est qu’un début. D’autres avancées sont attendues, et le cap est résolument tourné vers l’avenir.
Ce moment fort au Cap des Biches résonne comme un signal positif. Il témoigne de la détermination des autorités et de leurs partenaires à faire avancer des projets structurants, garants d’un développement durable et inclusif. Ce n’est pas seulement un branchement au réseau : c’est un pas de plus vers l’indépendance énergétique du Sénégal.
Birame Khary Ndaw